Marquer les esprits avec les mots,
Notre liberté intérieure est-elle cette âme prisonnière de ce corps, créant cette discorde et ce trouble profond partageant cette maladresse de nos propos ?
L'enthousiasme sans intelligence est une mort annoncée pour le gribouilleur (comme moi) dont la fraîcheur des pensées est un feu sauvage, il enflamme les mots souvent éphémères mais révoltants variant l'univers des lettres dans la création. Le gribouilleur ne sera jamais lassé des scènes de la vie, elles sont le portrait de sa conscience quand il voyage dans cet inconnu.
Parfois la tempête des mots devient brutale, confuse mais tellement belle qu'elle crée cette incohérence de la fuite des idées comme une douleur dans la poitrine.
La poésie, le texte, l'article est un regard posé sur l'irréel ou le réel, un sourire aux sentiments passionnels, une écoute au souffle de la vie que chaque caresse embellit d'un pas sublime, une intense émotion excessive qui nous enivre de cet absolu que seul(e) nous ressentons... au moment de la lecture... écrire reste la seule liberté pour effacer ou gommer remords ou regrets mais aussi permet de voir le monde avec une vision différente à nous de savoir le dire, le faire sentir et ressentir encore et encore.. que l’écrit imprègne le lecteur et qu’il réfléchisse maintenant, plus tard, demain les mots feront leur chemin …